Reprendre mon blog….

21 Jan

Cela faisait quelques mois que l’idée me trottait dans la tête… reprendre mon blog… mais pourquoi, pourquoi faire pour écrire quoi et quand??

Avant tout pour le plaisir d’écrire! Je me souviens du plaisir que je prenais à publier lorsque j’étais en Nouvelle-Zélande et que je bloguais en guise de récit de voyage.

Aujourd’hui les sujets ne seront plus les mêmes moins de voyage moins de basket-ball, mais des enfants un chéri, un chat, des poissons une vie de working girl, de reine du shopping, l’envie de cuisiner de faire du DIY, du zéro déchet, et de nombreux projets…. dont celui de reprendre mon blog.

C’est chose faite avec ce nouveau premier post…. 10 ans sont écoulés après mon dernier article…. 10 ans bien remplis…. juste le temps pour moi de fêter mes 25ans, puis de décrocher mon diplôme d’ingénieur, de m’exiler à Limoges pour devenir basketteuse professionnelle, d’y trouver un amoureux, de revenir sur Toulouse, de devenir tata, puis de repartir à Limoges y retrouver mon amoureux , de me PACS »er », devenir belle-maman d’être à nouveau tata, de devenir propriétaire, de devenir arbitre de basketball, de devenir enfin Maman (une révélation pour moi) de 2 adorables garçons de 1 an et 2 ans et demi et d’avoir 35 ans!

C’est un résumé un peu rapide, mais les principaux faits marquants sont là!

Voila c’est officiel je reprends mon blog.

 

18 Avr

« J’ai décidé d’être heureux c’est bon pour la santé »

 

I love basketball, Francky, my little baby, reading, cooking, laughing, seeing my friends my family, good food, exploring new countries, learning new things… listening music, good books, writing… I like my fish, my little cat, orchids and receving flowers from my boyfriend.

Convoyer un iceberg pour fournir de l’eau douce: une idée pas si givrée

31 Jan

 

Petit clin d’œil aux chasseurs d’iceberg

Convoyer un iceberg pour fournir de l’eau douce: une idée pas si givrée.

En France, guérilla autour de l’éolien

5 Juil
A lui seul, le vent ne réglera pas le problème du désordre climatique. Mais il peut y contribuer. Toutefois, si des parcs d’éoliennes commencent à s’implanter, ils ont encore de nombreux détracteurs.

Par Philippe Ollivier  Article du Monde diplomatique Février 2007

Le chiffre symbolique des 1 000 mégawatts (MW) d’énergie éolienne installée en France a été atteint en septembre 2006. Pour mettre en perspective la dimension de cette production, il faut apporter d’autres chiffres : 1 000 MW équivalent à une tranche de centrale nucléaire ; l’Allemagne, le champion européen, possédait, fin 2006, une capacité éolienne de 20 200 MW devant l’Espagne, avec 11 600 MW. Ces chiffres rappelés, on peut noter qu’en France, après avoir longtemps stagné, le développement éolien a été considérable au cours des cinq dernières années. Il a pratiquement doublé entre 2004 et 2006, et devrait encore doubler d’ici à 2008. Cette subite émergence des éoliennes dans notre paysage a provoqué des interrogations de la part des riverains de ces engins. Plus grave, deux éoliennes ont explosé en novembre 2006 dans l’Aude, victimes d’une guérilla qui réclame leur suppression pure et simple.

Ce questionnement est l’une des conséquences du retard de la France en la matière. En effet, en Allemagne, au Danemark et en Espagne, leaders historiques, l’éolien est entré dans les mœurs, et pratiquement tout a été dit sur ses avantages et ses inconvénients. En Espagne, en particulier, des consultations régionales ont été organisées dès 1996 et chaque région s’est déterminée. Certaines ont refusé l’éolien, lui préférant le solaire. L’Andalousie, par exemple, a choisi l’énergie du vent qui, au total, a créé 30 000 emplois dans le pays (1).

Les premiers parcs éoliens français ont rassemblé quelques machines dans des zones relativement peu peuplées. Avec la multiplication de ces installations, au début des années 2000, une soudaine prise de conscience s’est fait jour quant aux problèmes posés par ce type d’énergie. Il faut noter que, à quelques exceptions près, comme autour des installations nucléaires de Superphénix et de Plogoff – et encore, plus pour des raisons liées au maintien de l’ordre qu’à un véritable débat démocratique –, le débat sur l’énergie a rarement été porté sur la place publique. Depuis la fin des années 1960, la France a confié la majeure partie de sa production énergétique au nucléaire, il semblait donc que la discussion était close… si même elle avait jamais existé. Qu’on se rappelle la campagne de publicité expliquant que chaque objet électrique, de la perceuse à la lampe de chevet, est « nucléaire » : les milliards investis par Electricité de France (EDF) depuis trente ans dans une communication à sens unique ont parfaitement atteint leur but.

D’autre part, sur un plan environnemental, le retard français dans l’éolien s’explique par le fait que les plus gros pollueurs (Allemagne, Danemark, Grande-Bretagne) ont été sensibles aux énergies naturelles renouvelables (ENR) sous la pression des groupes politiques Verts. Or, les centrales nucléaires ne rejetant que très peu de gaz à effet de serre (GES), les gouvernements français successifs n’ont pas inscrit les ENR dans leurs priorités. D’un point de vue strictement politique, les colosses multinationaux que sont EDF et les entreprises du nucléaire, toutes contrôlées par l’Etat à divers niveaux, ont une évidente influence dans les décisions des élus locaux. Enfin, le poids de la CGT maison, pronucléaire, a contribué à dissuader les gouvernants de remettre en cause une politique énergétique qui, finalement, arrangeait tout le monde.

C’est dans ce tableau bien encadré qu’apparaissent un jour une, deux, trois, dix éoliennes, puis des parcs entiers. Avec elles surgissent des opposants que l’on pourrait classer en deux catégories : les conjoncturels et les structurels, les opposants de circonstance et ceux qui, pour le principe, ont déclaré la guerre à l’éolien. L’argumentation la plus générale porte sur deux grands thèmes. Quelle est la justification économique ? Quel est l’impact sur l’environnement ?

Les opposants avancent que cette technologie n’a aucun impact économique et, renouant pour le coup avec des arguments protectionnistes, précisent que les éoliennes sont toutes fabriquées à l’étranger. Les chiffres leur donnent tort : un millier d’emplois directs ont été créés en France d’après Eurobserver (2), et au moins le double indirectement pour la construction et l’entretien des machines ; les parcs contribuant au budget des communes où ils sont installés par le biais de la taxe professionnelle. De plus, beaucoup d’entreprises françaises sont des sous-traitants de fabricants étrangers.

Il est souvent reproché aux propriétaires d’éoliennes de revendre leur électricité à EDF à un prix trop élevé. Ce prix – révisable – a été calculé pour permettre à cette source d’énergie alternative d’émerger. C’est un choix politique (comme celui d’aider très largement EDF) – et pas seulement français. Toutefois, s’il est assez aisé de répondre à la question économique, celle concernant l’environnement est plus délicate.

L’éolien abîme le paysage ! La critique émane des propriétaires fonciers membres de la très chic association des Vieilles maisons françaises, regroupant propriétaires de châteaux et de manoirs, dont le site Internet proclame : « L’invasion des éoliennes géantes (…) risque de transformer en véritables zones industrielles les sites et le cadre des monuments les plus emblématiques de France. La protection de nos demeures n’est plus qu’une garantie fragile, voire illusoire (3) » ; le rejet vient aussi des néoruraux installés récemment dans des campagnes qu’ils avaient idéalisées – sans éoliennes, mais également sans coqs et sans clochers. A cela, il n’y a qu’une réponse : l’implantation d’une éolienne est soumise à de très nombreuses autorisations. Un constructeur espagnol a recensé, en France, 32 services, de l’Etat et des collectivités, concernés. C’est une garantie sinon esthétique – c’est au goût de chacun de se prononcer, et une éolienne vaut bien une ligne à très haute tension ou un château d’eau –, du moins légale.

Les éoliennes sont bruyantes ! Pour certaines des premières, l’argument était justifié. Mais il en va de l’éolienne comme de toutes les technologies : elle s’améliore. Sous des aspects simples, ces engins partagent des technologies avec l’aéronautique. Donc le silence est de rigueur, là encore contrôlé par l’organisme idoine. En fait, bien souvent, on entend davantage le vent que les machines.

Phénomène de subjectivité collective, voire de désinformation, la plupart de ces griefs sont émis avant les implantations. Très loin de posséder la puissance de feu communicatrice d’EDF, les bureaux d’étude promoteurs de l’éolien ont du mal à faire passer leur message. Ils ont trouvé la parade en invitant les futurs voisins d’éoliennes à visiter des sites en fonctionnement. En général, les objections concernant le bruit et les nuisances diverses tombent après cette visite.

A l’opposé, il existe un groupe « anti » qui a fait de la lutte contre l’éolien sa raison de vivre. Cette fédération rassemblant aujourd’hui un peu plus de 200 associations de tailles diverses, connue sous le nom de Vent de colère, est née dans l’Aude, département historique du point de vue éolien. Son fondateur, M. Pierre Bonn, s’est un jour aperçu que des éoliennes allaient être implantées dans le voisinage (4). Et comme il le dit lui-même, il « n’a pu le supporter ». Ancien des services de renseignement de l’armée, retraité de l’industrie chimique, M. Bonn a mis à profit ses connaissances en matière d’« information-désinformation ». Il a ainsi construit une sorte de vade-mecum antiéolien dont il va appliquer la recette dès qu’une commune est visée par l’implantation d’un parc.

Il est à même de rassembler quelques dizaines de personnes – pas forcément habitants de ladite commune – pour constituer des réseaux d’agit-prop efficaces. Tout lui est bon : sondages (contrôlés uniquement par Vent de colère), trucages de photos pour montrer les éoliennes plus proches et plus grandes qu’elles ne le seront en réalité. La rhétorique de Vent de colère reprend dans ses grandes lignes les questionnements évoqués plus haut, mais en leur apportant des réponses non démontrables et parfois fausses. Ainsi, l’association exhibe sur son site Internet (5) des photos d’oiseaux morts qu’on présume avoir été tués par les pales des éoliennes. Rien ne le prouve. Sans nier les risques que font courir les éoliennes aux oiseaux et aux chauves-souris, la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) note que ceux-ci sont largement inférieurs aux risques classiques : agriculture intensive, chasse, fils électriques (6)…

Il a été dit que les opposants à l’éolienne étaient manipulés par EDF et les entreprises du nucléaire. Rien n’a été démontré en ce sens. Et la thèse semble ne pas tenir. En effet, EDF est le premier opérateur éolien en France via sa filiale EDF Energies nouvelles. On imagine assez mal l’électricien se tirer une balle dans le pied. De son côté, Areva (7) a reconnu la pertinence d’une intégration de l’éolien dans un « mix » énergétique équilibré… comprenant le nucléaire. Il peut s’agir ici, pour l’une et l’autre entreprise, de se donner une bonne conscience écologique.

Les motivations des membres de Vent de colère sont multiples et sans doute moins simplistes que leurs slogans. Tous déclarent se rassembler sous la bannière de l’« antiéolien industriel ». Cette précision laisse penser que Vent de colère serait favorable à ce que l’on appelle le petit éolien – des machines n’excédant pas 12 mètres de haut, capables de fournir une énergie d’appoint pour une habitation. On trouve ce type de machines dans des zones non desservies par le réseau électrique ou, ponctuellement, pour fournir de l’énergie à une bergerie isolée, ou dans un parc naturel comme outil de développement durable. A la différence de leurs grandes sœurs industrielles, elles ne nécessitent pas de permis de construire et ne sont ainsi pas soumises au contrôle d’une autorité régulatrice.

L’action de Vent de colère échappe à toute analyse rationnelle. Si on interroge M. Bonn, il explique : « J’ai engagé le combat parce que je ne veux pas de leurs machines à côté de chez moi. » Outre sa batterie d’actions de « communication », l’association porte chaque projet éolien devant les tribunaux administratifs. Ce harcèlement contribue à allonger les délais déjà passablement longs. Ainsi, les projets qui aboutissent furent parfois lancés cinq ans plus tôt, le délai moyen étant de trente mois. Paradoxalement, cet obstacle oblige les sociétés à disposer d’une solide charpente financière pour assumer cette attente.

Si les adversaires font parler d’eux, les partisans des éoliennes se montrent beaucoup plus discrets. Ils existent pourtant, eux aussi groupés en associations ; et 800 élus ont déjà affirmé leur choix en faveur de cette énergie renouvelable.

Certes, l’éolien ne contribue pas directement à limiter les gaz à effet de serre, en France du moins, et pour les raisons précédemment évoquées. Il ne fera jamais rouler les camions ni voler les avions. Mais chaque kilowatt éolien représente un kilowatt nucléaire en moins, et des centaines de kilos de déchets radioactifs de longue durée (que l’on ne sait toujours pas stocker sans risques) sont ainsi épargnés.

L’autre contribution à la protection de l’environnement, c’est la réversibilité. Il faudra plusieurs décennies avant que les centaines d’hectares pollués par les installations nucléaires ou les raffineries de pétrole puissent être rendues à l’utilisation humaine. Un parc éolien peut être démonté en quelques mois…

Philippe Ollivier.

1) Ministère de l’environnement espagnol, Cf. www.actu-environnement.com/ae /dossi…

(2) Eurobserver est un observatoire européen spécialisé dans les énergies renouvelables qui fait référence dans toutes les études sur le sujet (www.observ-er.org/observ-er/html/Ba…). Cf. également La Lettre n° 8 du Syndicat des énergies renouvelables (www.enr.fr/DL/public ations/Lettre8.pdf).

(3) www.vmf.net

(4) Il faut relativiser la notion de voisinage. Une éolienne industrielle ne doit pas être implantée à moins de 400 mètres d’une maison. Cette distance est la première exigence que font respecter les préfets et certains ont repoussé cette zone à 600 mètres. A comparer avec la distance réglementaire (200 mètres) de la voie de passage des TGV à proximité d’une habitation.

(5) www.ventdecolere.org

(6) www.lpo.fr/etudes/eo lien/index.shtml

(7) Areva a acquis, en 2005, 21,5 % de Repower, un important constructeur allemand d’éoliennes de Hambourg.

 

le recit de nos aventures au canada

28 Juil
 
 
Le jour tant attendu est enfin arrive….. le depart pour montreal et les 2 semaines de vacances chez lynda et justin. Cette fois ci ma compagne de voyage est Sophie (ou l’anglaise).Ca promet des vacances de folie, tant la demoiselle est infatiguable malgre ses 30 printemps tout proches, heureusement je suis la pour la temperer par moments (et vice versa) un duo de choc quoi! Voici donc le recit de notre sejour au canada jour apres jour  heure par heure ou presque! 
 
P.S : les accents sont caches sur le clavier qwerty
 
Mardi 17 Juillet : "LE JOUR LE PLUS LONG"
 
9h00 : Mon papa nous depose a l’aeroport de Toulouse Blagnac, notre vol pour Franckfort avec la Lufthansa est prevu a 10h40…. on est pile dans les temps, on file direct au guichet de la Luft a l’enregistrement…
 
9h05 : On decouvre une file d’attente incroyablemet longue au guichet de la luft! Pas de panique on prend notre mal en patience, on rentre dans le rang on bavarde (et Dieu sait qu’om a pleins de choses a se dire) un seul mot d’ordre : "PAS DE VIOLENCE C’EST LES VACANCES!"
 
10h00 : On arrive ENFIN devant ce foutu guichet pretes a faire le check-in. On presente nos passeports a la dame et 1 quart d’heure apres on en etait toujours au meme point…. HUM! BIZARRE! L’experimentee Sophie sentant le mauvais coup arriver ose un timide : "Pardon Madame ya un probleme?" Et l’hotesse de repondre "bin oui il n’ya plus qu’une place dans l’avion vous allez voyager separement". Alors la c’etait meme pas la peine d’y penser qu’on voyage pas ensemble! Apres une courte discussion (ils sont qund meme comprehensifs a la Luft) on nous renvoie vers le comptoir de la Luft ou un gentil jeune homme (que nous appelerons Robert prenom en vogue en ce moment) doit nous trouver un autre itineraire. A ce moment moi j’avoue que je n’avais pas encore compris que NON NOUS NE SERIONS PAS A MONTREAL A 16h30 heure locale comme prevu initialement! Apres quelques minutes d’attente en silence (c’est assez rare pour le souligner) Robert nous a propose la solution suivante : " Vous partez a 16h voyagerez avec AIR FRANCE jusqu’a Montreal et vous arrivez la bas a 20h30 heure locale) et en guise de dedommagement la Lufthansa vous donne 600 euros". On ne pouvait rever d’un meilleur faux depart en plus avec Air France on accumule les miles et notre billet est en grande partie rembourse grace au geste commercial de la Luft!
 
Il ne nous restait plus qu’a tuer le temps jusqu’a 16h, ce fut finalement assez facile. D’abord apres avoir rencontre Philippe travaillant  chez AF et president du club des supporters de l’ETOILE SPORTIVE GIMONTOISE on a assure notre enregistrement jusqu’a Montreal histoire d’avoir l’esprit tranquille. Ensuite Sophie a appelle a la rescousse ses collegues de travail et Adelaide est gentiement venue nous recuperer a l’airport, c’est ainsi que l’on s’est retrouve en tenue de vacancieres a l’agence EXPECTRA de Toulouse (cf. 1ere serie de photos) Sophie reprenant pour l’occasion le travail. Cette petite aventure m’aura permis de mieux comprendre le quotidien de Sophie, et plus particulierement au sein de son environnement professionnel entoure de ses fabuleux collegues : ADELAIDE et DAMIEN.
 
20h30 (heure de Montreal soit 26h30 en france) : WE DID IT !!! On est arrive au Canada FINALLY! Voyage de 7 heures avec AF un repas trop bon 2 films ( contre enquete et ensemble c’est tout) des episodes de Friends et des simpsons et toujours Sophie comme compagne de voyage qui a eu la brillante idee de renverser un verre d’eau sur son siege apres 2h de vol! HUM!! SO BRITISH!!
A l’arrivee miracle nos baggages sont la on retrouve Lynda et sa grande voiture. Le temps de recuperer les bagages de passer l’immigration ( un moment memorable) d’avancer mon retour d’1 jour, on quitte l’aeroport vers 22h30 direction un bar downtown pour recuperer le matelas de Charles un ami de Justin. On fait la connaissance de KEITH coach a la fac de CONCORDIA. 2 bieres plus tard , la fatigue aidant, me voila totalement FLUENT -presque bilingue- j’ai l’anglais facile et il est temps de decouvrir l’appart’.
 
Montreal est  une ville francophone ici tout le monde est bilingue…. le probleme est que pour moi leur francais s’apparente a une langue etrangere… l’anglais me sera donc bien utile!
 
On retrouve Justin a l’appart’ on discute, on raconte nos aventures de la journee, on sort nos cadeaux, on mange un bout et on tombe comme des crepes dans nos lits respectifs.
 
 
……………………………………………………….TO BE CONTINUED…………………………………………………………………………
 
  Je continue le récit de nos aventures au Canada, même si certaines m’ont avouée ne regarder que les images…. Audrey L. 5A GC  (je balance mais de toute façon ce n’est pas grave elle ne sait pas lire).

Mercredi 18 Juillet : « Une Journée Tranquille »

1Après une bonne nuit reposante, et un bon petit dej direction la salle de sport. Et quelle salle de sport, un Sport Concept  (pour ceux qui connaissent) version XXL, c’est très simple c’est fully furnished…. Jusqu’au rasoir et la mousse à raser (non  je ne me suis pas trompée de vestiaires).

Pendant que l’anglaise pédale sur son vélo, Lynda m’invite à me joindre à elle pour faire son circuit training avec son coach perso… 1 heure 30 plus tard la séance est finie, on retrouve l’anglaise qui s’est mis en tête de faire de la gonflette pour avoir des gros bras et des grosses épaules…. Encore une idée bien british ça ! On file à la douche et après un bon repas (le premier d’une longue série), avec Sophie, on choisit de passer un après-midi tranquille chez Lynda qui elle doit bosser. Justin lui est parti au travail, je n’ai toujours pas très bien compris son job, (c’est pas faute de me l’avoir expliquée), pour faire simple il bosse dans la pub et le marketing.

On reste tranquille à l’appart’ ou il faut le dire on empêche Lynda de travailler, avec nos discussions supers spirituelles, et nos confidences diverses!! En fin d’après-midi retour à la salle de sport, pour jouer au basket  et participer aux social games.

Pour le repas du soir, Justin nous a emmené « au pied de cochon » un bon resto de Montréal ou on a pu goûté le Putine (une spécialité québécoise très light à base de pommes de terres et de cheddar qui couine sous la dent véridique !). Le poutine c’était seulement l’entrée pour qu’on goûte. Après un tel repas une marche digestive s’est imposée, Charles a passé la soirée avec nous, il s’est vite senti à l’aise avec l’anglaise et moi !

Jeudi 19 Juillet : « Shopping sous la pluie »

L’après midi les choses sérieuses ont commencé… le shopping, malheureusement la pluie était de la partie, après les 3 Foot Locker de la rue Ste Catherine et le magasin Off the hook ou Justin bosse, nous n’arrivions plus à passer entre les gouttes, nous nous sommes donc réfugiées dans la ville souterraine, ou plutôt dans le centre commercial souterrain. Un après-midi de shopping dont on est rentré bredouilles, ou presque.

Le soir encore un gros repas,  mexicain cette fois et une nouvelle marche digestive, afin de bien dormir avant le départ tant attendu pour Toronto !

 Vendredi 20 Juillet : « Road Trip direction Toronto »

 6 h de route pour rallier Toronto, un road trip comme on les aime, là bas 6h de route c’est de la rigolade, pour moi, c’est comme si je montais à Paris en voiture, mais au canada, c’est pepère faut dire aussi dans le Canada on peut mettre 35 fois la France, tout est à une échelle plus grande, les voitures, les repas, les cafés, les bières, tout quoi ! Et puis quand on en a marre de conduire on s’arrête chez Tim Hortons pour manger un muffin. On est partie de Montréal vers 12h, après un petit dej fait de fruit rouges (blueberry, raspberry) gaufres et sirop d’érable un vrai régal !!! Même la journée dans la voiture c’était bien avec les copines, (cf .la séance photo) Lynda au volant, l’anglaise devant et oîm derrière un peu loin de mes camardes (c’est ça l’inconvénient des grandes voitures) mais bon je suis arrivée à bien m’occuper seule à l’arrière, jusqu’à ce que Lynda comprenne pourquoi j’étais si silencieuse… « Delph are you smiling at the guys in the blue track? »

Samedi 21 Juillet : « Lynda’s birthday in Toronto »

Dimanche 22 Juillet : « Cap Sur Orangeville »

Lundi 23 Juillet : « Retour sur Montréal »

Mardi 24 Juillet : « Le vieux Port »

Mercredi 25 Juillet « L’ascension du Mont Royal, et le concours de Skate Board »

Jeudi 26 Juillet : « Vernissage »

Vendredi 27 Juillet : « Soirée entre filles »

Samedi 28 Juillet « Direction Ottawa »

Dimanche 29 Juillet « Ma cabane au canada… »

Lundi 30 Juillet « le départ »

 
 
 
 

Vacances avec Sophie et Lynda

22 Juil
Voici quelques photos  du canada…
 
 
Le recit de nos aventures viendra plus tard! on a plein de choses a raconter, je prends des notes pour ne rien oublier
 
 
Comme on dit ici SO FAR SO GOOD!
 
 
A bientot
 
Delphine
 

CHAMPIONNES DE FRANCE 2007

16 Mai
 

Troyes 2007 vue par Laure http://petitou64.skyblog.com  j’ai trouvé ce résumé très bien alors je vous le fait partager…. allez faire un tour sur son blog c’est bien sympa http://petitou64.skyblog.com

"Petit retour en arrière!!!

Mardi 1er mai 7h du mat’
Départ pour Troyes avc tte l’équipe accompagnée de notre cher coach Matthieu Bayrou et de l’inimitable Framboise!!! 11h de bus avc les gars de l’IUT de Tarbes!
et c’est partie pour 3 jours de folie!!!! Je vais pas vous faire le détail du séjour, c’était tt simplement parfait et fantastique… Je vous laisse voir avec les photos qui suivent!!!

Pour commencer le cru Insa 2007!! Nous voici donc juste avt la finale. cf. photo 1

Voici un évènement marquant de ces championnats!!! Un évènement qui a fait de Marie l’idole de Troyes!!! Un acte qui lui a valu des acclamations ds le RU et à son entréé sur le terrain!!!!

En effet la miss s’est engagée au concours de dunk!! face à son talent incontestable les organisateurs ont décidé à la dernière minute de rajouter un prix. C’est ainsi que notre Marie a gagné le concours de dunk et la bouteille de champagne!!!! photo2

ON VALIDE!!!!!!

 

Certes on a passé 3 jours à faire du basket, mais élections obligent, les débats politiques st venus se méler à nos petit-déjeuner!!! Des discussions qui m’auront fait bcp rire!!! On a même regardé le débat. Quoi du moins essayé, la séance politique s’étant finalement terminé en belotte et pétage de bid aux chips et aux bonbons!!!

Heureusement, Delph en bonne capitaine d’équipe nous rapelle notre devoir de citoyens juste avt la demi finale contre l’insa strasbourg!!! photo 3 

 
Comme tt était très bien organisé, on a même eu droit à une soirée le jeudi avec open champagne pour les filles!!! La veille de la finale malheureusement… mais bon ça ns a pas empécher de nous amuser, de faire les connes pour changer et de ***** pour certaines!!! 😉

Tt d’abbord petite réception au RU avc verre de champagne offert à tt le monde!! Ensuite direction la ville avec un before au Manhattan Club (de suite sa donne envie!)!! L’occaision de s’enfiler 6 pichets de bierre et de chanter ds tout le bar "ALLEZ TOULOUSE, ALLEZ ALLEZ…"
Puis enfin, départ à pied pour Le Montana, 200m a marcher mais Marie et Anouck trouve le moyen de se faire remarquer!!! Mais bon avouez, que miss Maiscédoine c’est la classe!!! photo 4

 
Voila, on l’a gagné cette finale!!!!

CHAMPIONNES DE FRANCE!!!

J’avoue c’était un peu le stress, en témoigne mes passages incessants aux toilettes!!!
Mais bon on a pu compter sur notre formidable 5 majeur, dt nous sommes les premières fan!!
Tt le monde a joué un peu, puis bon mettre 22pts à l’INSA Lyon ça fait plaisir!!!  photo 5

 
Pour finir la session Troyes, 2 verres de champagne comme 2 titres à féter!! Donc rdv très bientôt pour honorer dignement nos titres de championnes de France et de championnes académique!!

Un grand merci à:

–> michel notre chauffeur au crane rasé qui s’est pas géné pour piquer ds nos bierès!!!

–>Matthieu qui a commencé le sandwich au thon de Framboise

–>Framboise qui a bouffé son sandwich sans se rendre compte qu"il manquait un bout

–>Agathe qui embaume tt le pavillon avc ses chaussures et se gave de babybel à 2h du mat pour pas vomir

–> Marina reine du dance-floor avc parfaite maitrise de la barre!

–> Coralie qui dort n’importe où et qui sprinte sans qu’on s’en rende compte

–> Clem championne pour les blagues qui était déja à l’insa en 2001 alors que je n’étais qu’en 5ème!!

–> Audrey rentrée de Cardiff exprès pour nous et qui se remet d’une cuite plus vite que son ombre

–> Marie et sa technique inimitable en fauteuil roulant et ses pommes douces et croquantes

–> Delph DJ du bus et fournisseuse officielle de tatouages malabar

–> Anouck et son tatouage catwoman sans tête et qui a besoin d’aide pour calculer l’écart de point à la finale

–> Marianne meilleure contreuse du tournoi qui a sauvé l’honneur du 64 en terme de soirée

–> Emilie élue photographe de l’équipe

–> Caro battu séchement à la belote mais qui va jouer en N3 l’an prochain

–> Moi qui ai gagné le concours pipi!!!! "

 
Merci Laure pour ce petit résumé oh combien interessant!

Une première en Nouvelle-Zélande : le « langage SMS » autorisé aux examens !

26 Déc
Une première en Nouvelle-Zélande : le "langage SMS" autorisé aux examens !

À partir de cette année, les élèves néo-zélandais du secondaire auront désormais le droit d’utiliser le langage d’abréviations qu’ils utilisent pour rédiger SMS ou e-mails, pour leurs examens écrits, a annoncé la NZQA, l’organisme de supervision des examens.
Elle prend acte du fait que ce langage est "la deuxième langue" de la plupart des adolescents. La NZQA précise qu’elle décourage toujours fortement l’usage d’autres langues que l’anglais "véritable" mais que seront considérées comme exactes des réponses qui "montrent clairement" que la question a été comprise et le programme assimilé, même si elles sont rédigées en langage SMS. Seules certaines épreuves, dont celles d’anglais, devront être impérativement rédigées en anglais.De nombreuses voix s’élèvent contre cette décision qui suscite une vive controverse. La présidente de l’association des enseignants du secondaire admet que "les enseignants sont quotidiennement confrontés à l’utilisation du langage SMS", mais selon elle, la banalisation de cette pratique serait source d’inquiétudes et de problèmes. Plusieurs chefs d’établissement ont fait savoir qu’ils n’encourageraient pas une telle évolution.
Source : 
http://www.studyrama.com/article.php3?id_article=22325

La Newteam

15 Sep
 
 TOULOUSE BASKET CLUB 2006-2007
 
on passe même a la télé parfois!  France 3

Souvenir souvenir…

7 Août
The exponents c’est LA et Poi E c’est ICI